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24 janvier 2013

Commentaires

Est-il plus précieuse auréole pour le poète que celle du suprême, du sublîme, de la pureté?
La pureté verbale, Dupin la porte continuellement en lui et autour de lui, glorieuse aura de son âme céleste; quant au sublîme, c'est dans le sens même de ses vers, pour ténébreux et écartelés qu'ils soient, qu'il l'atteint.

La parole de Césaire, disait Breton: belle comme l'oxygène naissant.

La parole de Dupin: belle comme le lyrisme du basalte.
Et je pèse mes mots.

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