si
ton souffle est tourment
si tant de tes visages
se font et se
défont
ô musique visible
c'est comme
un parler de
silence
ô très douce
ou parfois
un murmure
d'autre
langue
une langue
d'autre ciel
Raymond Farina, in Virgilianes - © Rougerie, 1986, p.63
Internet
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Une page sur Terre à ciel
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Sur le site de la Maison des écrivains et de la littérature
Contribution de PPierre Kobel
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