Les
mots ne sont pas sûrs,
miroirs parmi les miroirs,
plus
fragiles, plus incertains, mais
Tu vis de leur stupeur, leur
frénésie,
leur chimère. En eux, dans la cage des sons,
Tu
t'inscris, et tu prends quelquefois
le chemin qui les traverse
et
qui n'en finit pas d'arriver.
In Comme un château défait, © Poésie/Gallimard, 2004, p.54
Internet
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Un article de Jean Gédéon dans La Pierre et le Sel : Lionel Ray, poète lyrique à trois têtes
Contribution de PPierre Kobel
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